Alors que,
Primitifs adultes en chapardage
de friandises humaines,
Nous nous enivrons
jusqu’à nous rendre bêtement heureux,
Dans la chambre d’à côté,
Un enfant tousse, discrètement,
....dans des songes bercés d’envie.
Alors que,
Sur le rebord de la fenêtre,
Un chat lave sa patte,
félin minou tout en grisaille,
avec pelage et profil de camée,
Nous détournons l’ampleur des figurines
vers l’entonnoir des citadelles de plomb.
Inexistants aux enfants sains en quête d’or,
Inexistants aux matous voraces en quête d’ires,
Nous retenons le coït des ivresses,
Jusqu’aux temps des danses neiges
sur l’arc-en-ciel de la liberté.
Primitifs adultes en chapardage
de friandises humaines,
Nous nous enivrons
jusqu’à nous rendre bêtement heureux,
Dans la chambre d’à côté,
Un enfant tousse, discrètement,
....dans des songes bercés d’envie.
Alors que,
Sur le rebord de la fenêtre,
Un chat lave sa patte,
félin minou tout en grisaille,
avec pelage et profil de camée,
Nous détournons l’ampleur des figurines
vers l’entonnoir des citadelles de plomb.
Inexistants aux enfants sains en quête d’or,
Inexistants aux matous voraces en quête d’ires,
Nous retenons le coït des ivresses,
Jusqu’aux temps des danses neiges
sur l’arc-en-ciel de la liberté.
Pierre Rousseau, Sur le dos de la nuit, 2005.
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